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l'identification

peut-on reconnaître celui qu'on ne voit pas ?

 L identification 01 min

il semble que dans l'affaire

Ranucci tous les témoins

ont des revirements de mémoire

 

 

 

L identification 02 minle ravisseur

 

" voulez-vous m'aider à retrouver mon chien noir ? "

 

Cette phrase, l'enfant qui jouait dehors avec sa sœur l'a entendue de la bouche du ravisseur.

Il a donc vu cet homme. Mais ce garçon qui avait 6 ans peut-il pour autant le reconnaître ?

 

 

 

L identification 03 minla présentation

 Le jeune garçon devenu adulte n'acceptera qu'une seule interview.

Probablement pour rencontrer l'un des marseillais les plus populaires auprès du grand public : jean-pierre Foucault. Mais il lui tient des propos sans rapport avec la réalité.

 

date lieu

L identification 04 min

 suspect

 L identification 04bis min

véhicule

juin 1974

Marseille

hôtel

de Police

il ne reconnait pas

Christian Ranucci

en face de lui comme

"l'homme au chien noir"

il identifie

une Simca

comme la voiture

du ravisseur

1992

interview par

jean-pierre

Foucault

il affirme que c’est bien christian Ranucci qui lui a demandé de chercher son chien noir à la cité Saint Agnès

il affirme que petit il ne pouvait pas identifier les voitures

 

 Ces revirements semblent dictés par le besoin de cohésion familiale, l'influence du père sur l'enfant.

 

 

 

L identification 05 minphysionomie

 Les propos tenus à 24 ans par le garçon devenu adulte ne résistent pas à l'analyse des faits :

 

L identification 04bis minPour un enfant qui n’était pas capable de reconnaître les voitures, le jeune garçon s’en était plutôt bien sorti. Il a désigné la même marque qu'a citée le garagiste témoin de l'enlèvement.

 

L identification 07 minL'enfant est confronté à christian Ranucci le surlendemain du rapt. Il ne reconnait pas le ravisseur qu'il a vu face à lui l'avant-veille.

Mais 18 ans plus tard, il affirme que c'est lui !

 Le parcours de vie connu par cet enfant mérite la mansuétude pour ses propos.

 

Mais quelqu'un d'autre devrait aussi largement mériter plus de l'indulgence. Surtout quand il s'exprime derrière la caméra pour une scène qui ne met nullement en cause les enquêteurs.

Cet homme dont on doit respecter le travail est le réalisateur du film "le pull-over rouge".

 

 

 

 L identification 08 minle film

 

En 1978 michel Drach reconstitue pour le cinéma la scène d’identification du véhicule.

Des photos sont présentées à l’enfant.

 "Mensonge !" clament les partisans de la culpabilité. Dans la réalité, On a amené le garçon faire un tour au parking.  

Il n'y a jamais eu de présentation de photos de voitures.

 

 

 

L identification 09 mincinéma et réalité

 La scène d’identification du véhicule par photo est-elle un « raccourci cinématographique » ?

On peut y voir une illustration plus directe de la procédure.

Cette scène est d’abord, reconnaissons-le, l’image de policiers faisant consciencieusement leur travail. Pour des gens dont les méthodes ont pu être mises en doute sur cette affaire, c’est plutôt un hommage à leur professionnalisme qui est rendu dans le film !

 

  1. L identification 10 minPrésenter à un témoin les photos de personnes fichées revient souvent à chercher une aiguille dans une botte de foin. 

L’allure, le teint, la corpulence et la pilosité du personnage peut différer totalement de la réalité.

En revanche, des photos de voitures ne souffrent pas d'autant d'incertitudes.

 

Accuser un réalisateur de mensonge quand il présente les policiers sous un jour professionnel compétent et avisé : un comble !

 

 

 

L identification 11 minle tapissage

 Un autre reproche fait à michel Drach est la scène de tapissage.

 Dans le film, le couple de toulonnais qui se dit témoin du lieu de l'assassinat ne reconnait pas christian Ranucci au milieu de figurants.

Il faudra une confrontation en tête à tête pour que la femme le désigne comme l'assassin.

 

 

 

L identification 12 minque s'est-il passé ?

 Sur ce qui c'est réellement passé le 6 juin 1974 au commissariat de Marseille, il existe 3 témoignes successifs.

L identification 13 min

Entre les déclaration des 2 toulonnais et du policier présent à l'identification, on s'y perd un peu. Sauf que c'est par le dernier, celui qui est assermenté, qu'on apprend que le tapissage a un été un échec.

 

 

 

L identification 14 minle serpent se

mord la queue

 

Si le tapissage avait donné le résultat escompté par les enquêteurs, la confrontation directe avec les deux toulonnais devenait superflue.

Elle était même carrément à éviter.

Surtout qu'il n'y a que le mari pour prétendre que le tapissage a permis l'identification. L'ancien policier n'en parle même pas.

Il faut croire que le tapissage soi-disant réussi n'a laissé ce souvenir qu'à une seule personne : le mari.

Plus crédible aurait été une confirmation officielle. Or de ce tapissage, il ne reste aucune trace dans les PV du dossier d'instruction. Pas plus que dans la mémoire de l'ancien policier assermenté. Pourtant, il était au fait de la polémique sur cette identification.

 

 

 

La collision 9conclusion

 

 

Quand les souvenirs dérangent, la mémoire les arrange.

Le frère de la victime, tout comme le témoin qui a poursuivi la voiture de christian Ranucci semblent modifier dans leur esprit les points dérangeants.

Qu'il s'agisse de reconnaître "l'homme au chien noir" et sa voiture pour l'enfant, ou du résultat de tapissage pour les deux, les réponses qu'ils fournissent aux enquêteurs dans un premier temps écartent christian Ranucci de la piste du suspect. 

Mais par la suite, l'enfant sous la pression de son père, le toulonnais sous la pression de sa mauvaise conscience, "arrangent" leurs souvenirs. Il s'agit de se convaincre que christian Ranucci désormais exécuté était bien coupable.  Manoeuvres  autant pathétiques que dérisoires, car à se contredire on finit par se discréditer.

  • 1 vote. Moyenne 1 sur 5.

Commentaires

  • GERMAIN
    • 1. GERMAIN Le 31/08/2015
    Alex Hennequin
    "On accorde pas assez d'importance aux lunettes. Il est impossible que Ranucci ait enlevé l'enfant sans ses lunettes (très voyantes). Or Jean n'a pas vu un monsieur avec des lunettes."


    GERMAIN
    Comme pour la voiture grise que les innocentistes se hâtent de transformer en Simca 1100, vous extrapolez. Dans son PV d'audition, nulle part il est écrit que Jean aurait dit que l'homme portait ou non des lunettes. En fait, on ne sait même pas si la question lui a été posée par les enquêteurs. Et si c'est le cas, on ignore la réponse de Jean.
    Qui vous dit que, malgré sa "vue basse", Ranucci n'a pas quitté provisoirement ses lunettes pour aborder les enfants, faire monter la fillette dans la 304 puis remettre ses lunettes pour conduire.
    Même avec une vue limitée à 3 dioptries, c'est tout-à-fait possible !
    Concernant le témoignage des Aubert, je vous rappelle que la scène qu'ils ont vue se situait à quelques 80 m. Lorsqu'ils sont arrivés à la hauteur de la 304, Ranucci avait déjà disparu dans les fourrés avec la fillette.
    Il leur était impossible de dire si Ranucci portait ou non des lunettes !
    Quant au témoignage de Martinez, il est contradictoire donc peu fiable.
    Le 3 juin, il dit:
    "Je ne puis vous donner son signalement . Il me semble qu'il était jeune mais je n'ai aucune idée du reste"
    et le 6 juin:
    "L'accident s'est produit très rapidement, mais malgré cela, j'ai aperçu nettement le conducteur et peux même vous signaler qu'il portait des lunettes".
    Il faut prendre les témoignages des uns et des autres avec une extrême prudence et ne pas en tirer des conclusions hâtives et souvent erronées.
    Que les témoins n'aient pas signalé de lunettes ne prouve absolument pas que l'homme aperçu par eux n'était pas Ranucci !
  • Alex Hennequin
    • 2. Alex Hennequin Le 08/07/2015
    Mr Bouladou a raison. A part Ranucci, qui aurait pu sortir de la voiture?

    Mais l'affaire Ranucci ressemble beaucoup à l'affaire DILS. Ce dernier a avoué et connaissait des détails que seul l'assassin peut connaître... Tout avait été démontré de façon claire que DILS était coupable. Les juges l'ont condamné. Et pourtant,la vérité a éclaté, ce n'était pas DILS. Et ça a pu être démontré.

    On accorde pas assez d'importance aux lunettes. Il est impossible que Ranucci ait enlevé l'enfant sans ses lunettes (très voyantes). Or Jean n'a pas vu un monsieur avec des lunettes...
  • Michel
    • 3. Michel Le 31/05/2015
    " - Ranucci il est mort, ma sœur elle est morte, basta, voila . Qu’est ce qu’il y a à faire ? Trente ans après qu’est ce que vous voulez faire maintenant ? Qu’est ce que vous voulez faire ? On va…, on va soulever la terre, qu’est ce que ça rapporte ? on va faire de la poussière ? Ca ne sert à rien. "

    Pourquoi soulèverait on la terre ???"


    TF1 - Jean Rambla.

    A quoi bon dire que Ranucci n'était pas l'homme au chien noir ?
    A quoi bon s'opposer à son père?
    A quoi bon mettre en cause les autorités ?
    A quoi bon énerver les abolitionnistes ?
    A quoi bon provoquer les tenants de la peine de mort ?

    Pourquoi dire la vérité ?

    Si Jean Rambla avait reconnu Ranucci au moment des faits , si trente ans après, il avait pu dire que Ranucci était bien le ravisseur de sa sœur, le doute s'estomperait...
  • GERMAIN
    • 4. GERMAIN Le 13/05/2014
    Vous n'arrêtez pas de vous référer à des témoignages faits trente ans après les faits. Parce qu'ils vous arrangent. Mais ces témoignages n'ont pas de valeur, même s'ils sont faits par des personnes qui étaient liées à l'enquête. Eux aussi témoignent comme cela les arrange. Policiers et gendarmes se rendent bien compte maintenant que leur enquête avait été mal conduite, que des vérifications qu'ils auraient dû faire ne l'ont pas été. Aujourd'hui, ils racontent à leur manière, un peu différentes de ce qu'on avait entendu ou lu au moment des faits. Tout simplement pour justifier qu'on n'a pas envoyé un innocent à la guillotine.
    Je n'attache aucune importance à ces souvenirs, qu'ils émanent de Grivel, Alessandra, Gras, ....etc. Pourtant, ils devraient conforter ma conviction. Et bien, non, au contraire. Ce qui est remarquable, c'est que ce sont les innocentistes qui les prennent en compte.
    Je maintiens:
    1) Mme Aubert n'a jamais reconnu Ranucci lors du tapissage.
    2) Personne ne peut affirmer, aujourd'hui la place de la 304: sur le plan, elle correspond au témoignage de Jean. Si Spinelli la voit, elle ne peut être que dans la rue. Aujourd'hui Jean dit qu'elle était garée le long du trottoir. Un des deux se trompe. Lequel ? Spinelli ou Jean aujourd'hui ? Je ne me prononcerai pas. Mais je ne dirai pas que c'est le plan qui est forcément faux. Je ne le sais pas. Vous non plus, je pense.
  • GERMAIN
    • 5. GERMAIN Le 12/05/2014
    Desmond écrit:
    "- Mme A. reconnait derrière la vitre sans teint ... mais on a jamais retrouvé de PV l'attestant !"

    Mais non, encore une erreur. Mme Aubert n'a jamais reconnu Ranucci derrière une vitre sans tain. Voilà pourquoi il n'existe pas de PV. Ce serait logique, mais on n'est pas obligé d'établir un PV s'il n'y a pas reconnaissance.
    Mme Aubert a reconnu l'homme qui s'était enfui dans la colline lorsqu'on le lui a présenté. Elle s'est écriée:
    "C'est vous, je vous reconnais. Vous mentez ! ".
    • desmond
      • desmondLe 12/05/2014
      Mr A. est catégorique en 1999 : son épouse a reconnu chritian Ranucci derrière une vitre sans tain. les innocentistes vous diront que ce n'est pas son 1er mensonge. et les culpabilistes honnêtes vous diront que la présentation en vis à vis n'a aucune valeur pour l'identification.
  • GERMAIN
    • 6. GERMAIN Le 12/05/2014
    Desmond écrit:
    le garçon a reconnu une Simca (qui n'était pas 1100),
    mais une simca quand même, sur le parking de l'évêché."

    Il a reconnu une Simca Chrysler. Ce n'est pas tout-à-fait la même chose qu'une Simca 1100.

    l'assassin avait garé sa simca dans la cour de la cité St Agnès.

    Je suppose que ce que vous appelez la cour, c'est la place devant les 3 garages. La vraie cour, elle est en réalité, plus haut, entre les immeubles qui composent la Cité.
    Jean a dit que l'homme avait garé sa voiture grise (pas une Simca) devant les 3 garages.


    christian Ranucci avait garé sa Peugeot 304 dans la rue d'Albe
    et pas forcément au même moment.

    D'où tenez-vous cela ? C'est en contradiction avec le dossier. Sur le plan, Ranucci a placé la voiture devant les 3 garages. En fait, si l'on prend au mot-à-mot ce qu'il dit dans ses aveux, il n'est pas très facile de savoir exactement où se trouve la 304.
    Qu'est qui vous fait dire "à un autre moment" ? Et surtout, quel serait ce moment d'après vous ?
    • desmond
      • desmondLe 12/05/2014
      Sur la plan, on a fait dessiner à christian Ranucci sa voiture devant les garages au même titre qu'on lui a fait dire qu'il n'avait pas passé le nuit à Marseille. Le témoignage en 1999 retiré en 2006 d'un policier présent établit qu'il s'est garé dans la rue. Donc le plan est faux.
  • GERMAIN
    • 7. GERMAIN Le 09/05/2014
    LA NON RECONNAISSANCE DE RANUCCI PAR JEAN

    Vous écrivez:
    "il ne reconnait pas Christian Ranucci en face de lui comme
    "l'homme au chien noir""

    On demande à un enfant de 6 1/2 ans de reconnaître un individu qu'il n'a vu que quelques instants et qu'il n'a pas forcément regardé les yeux dans les yeux.
    La seule réponse possible que l'enfant peut faire, c'est:
    "Il n'est pas habillé pareil"
    Et c'est vrai puisque Jean l'avait vu en "costume" (pantalon foncé + veste plus claire, selon Spinelli)
    A l'Evêché, Ranucci porte une chemise bleue à rayures et un pantalon clair.
    Normal donc que Jean n'identifie pas Ranucci.
    Pendant que j'y suis, j'en profite aussi pour dire que Spinelli ne reconnaît pas Ranucci: il l'avait d'ailleurs spécifié dans sa déclaration du 4 juin:
    "Je ne pense pas pouvoir être formel quant à l'identification de cet individu pour le cas où il me serait présenté."
    Comment voulez-vous reconnaître une personne que vous avez aperçue fugitivement à 40/50 m, dans une scène à laquelle vous n'avez pas prêté réellement attention.
    En seriez-vous capable ?
    Pour moi, c'est sûr: ma réponse est non !
    • desmond
      • desmondLe 11/05/2014
      - l'enfant ne reconnait pas - le garagiste ne reconnait pas - Mme A. reconnait derrière la vitre sans teint ... mais on a jamais retrouvé de PV l'attestant !
  • GERMAIN
    • 8. GERMAIN Le 09/05/2014
    Vous écrivez:
    "Le 3 juin, Jean identifie une Simca comme la voiture
    du ravisseur"

    C'EST FAUX !
    Voici ce que dit Jean:
    "Le monsieur avait une voiture grise "
    Nulle part, il ne parle d'une Simca.
    Il a vu une voiture grise, c'est tout.
    Ce sont les journalistes (dont R. Arduin) qui, sans le vouloir, du moins je l'espère, ont orienté sa réponse sur "une Simca".
    A l'Evêché, Jean ne reconnaîtra ni une Simca 1100, ni la 304 de Ranucci. Ce qui montre qu'il ne connaît pas les modèles autant qu'on a bien voulu le laisser croire.

    SECONDE INCOHERENCE:
    Jean dit:
    "Un homme en voiture est arrivé. Il a garé son auto devant un des garages. "
    Comment, dans ce cas, M. Spinelli peut-il voir une Simca 1100 garée en bas l'impasse Albe ?
    Où est-elle cette voiture grise ? Devant les garages, donc invisible de Spinelli, ou le long du trottoir ?
    Qui se trompe ? Jean ou Eugène Spinelli.
    J'ai bien une explication, mais j'avoue qu'elle est sujette à caution.
    Elle ne me satisfait donc pas vraiment !
    • desmond
      • desmondLe 11/05/2014
      le garçon a reconnu une Simca (qui n'était pas 1100), mais une simca quand même, sur le parking de l'évêché. l'assassin avait garé sa simca dans la cour de la cité St Agnès. christian Ranucci avait garé sa Peugeot 304 dans la rue d'Albe et pas forcément au même moment.
  • GERMAIN
    • 9. GERMAIN Le 09/05/2014
    Vous écrivez:
    "Le 3 juin, Jean identifie une Simca comme la voiture
    du ravisseur"

    C'EST FAUX !
    Voici ce que dit Jean:
    "Le monsieur avait une voiture grise "
    Nulle part, il ne parle d'une Simca.
    Il a vu une voiture grise, c'est tout.
    Ce sont les journalistes (dont R. Arduin) qui, sans le vouloir, du moins je l'espère, ont orienté sa réponse sur "une Simca".
    A l'Evêché, Jean ne reconnaîtra ni une Simca 1100, ni la 304 de Ranucci. Ce qui montre qu'il ne connaît pas les modèles autant qu'on a bien voulu le laisser croire.

    SECONDE INCOHERENCE:
    Jean dit:
    "Un homme en voiture est arrivé. Il a garé son auto devant un des garages. "
    Comment, dans ce cas, M. Spinelli peut-il voir une Simca 1100 garée en bas l'impasse Albe ?
    Où est-elle cette voiture grise ? Devant les garages, donc invisible de Spinelli, ou le long du trottoir ?
    Qui se trompe ? Jean ou Eugène Spinelli.
    J'ai bien une explication, mais j'avoue qu'elle est sujette à caution.
    Elle ne me satisfait donc pas vraiment !
  • GERMAIN
    • 10. GERMAIN Le 09/05/2014
    Vous écrivez:
    "Le 3 juin, Jean identifie une Simca comme la voiture
    du ravisseur"

    C'EST FAUX !
    Voici ce que dit Jean:
    "Le monsieur avait une voiture grise "
    Nulle part, il ne parle d'une Simca.
    Il a vu une voiture grise, c'est tout.
    Ce sont les journalistes (dont R. Arduin) qui, sans le vouloir, du moins je l'espère, ont orienté sa réponse sur "une Simca".
    A l'Evêché, Jean ne reconnaîtra ni une Simca 1100, ni la 304 de Ranucci. Ce qui montre qu'il ne connaît pas les modèles autant qu'on a bien voulu le laisser croire.

    SECONDE INCOHERENCE:
    Jean dit:
    "Un homme en voiture est arrivé. Il a garé son auto devant un des garages. "
    Comment, dans ce cas, M. Spinelli peut-il voir une Simca 1100 garée en bas l'impasse Albe ?
    Où est-elle cette voiture grise ? Devant les garages, donc invisible de Spinelli, ou le long du trottoir ?
    Qui se trompe ? Jean ou Eugène Spinelli.
    J'ai bien une explication, mais j'avoue qu'elle est sujette à caution.
    Elle ne me satisfait donc pas vraiment !
  • bouladou
    "Si le tapissage aurait donné un résultat" bonjour le français ! en cours moyen 2ème année vous auriez un zéro pointé. Mais je vous rassure, le ridicule ne tue pas sinon Perrault serait mort. Donc vous ne risquez rien !
    Vous vous focalisez sur le tapissage de façon ridicule alors que celui-ci est absolument inutile. En effet, que les Aubert reconnaissent ou non Ranucci, dites moi qui à part lui a pu sortir de sa voiture après avoir roulé 700 mètres seulement ? Un martien peut-être ? Non Ranucci ! M. Aubert a regardé dans la voiture et il n y avait plus personne. Vous pourrez tourner en rond sur le tapissage pendant vingt ans, vous n’apporterez rien à l’affaire. D’autre part, on fait des confrontations lorsque l’auteur nie les faits. Le témoin est là pour contredire l’auteur au cours de la confrontation. Vos affirmations sur les confrontations sont l’œuvre de quelqu’un qui ne connait rien à la procédure policière et judiciaire en général. Dans toutes les affaires ou l’auteur nie, on fait une confrontation. Vous êtes nul et vous faites un blog en écrivant comme si vous étiez un spécialiste. Or, vous n’avez rien compris à part les conneries de Perrault.

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